tableaux modernes, bijoux, orfèvrerie
Une petite centaine de bijoux, anciens et modernes, se partagent les vitrines, dont les estimations oscillent de quelques dizaines d'euros à un peu moins de 10 000. Une seule exception, mais elle est de taille, 150 000/200 000 € étant en effet attendus d'un diamant jaune (sur papier) de taille ancienne, de forme coussin (16,72 ct). Parmi les quelques montres-bracelets qui leur succèdent, on a retenu un modèle historique en or de chez Universal, offert à Cherif Mécheri (1902-1990) – ancien résistant aux côtés de Jean Moulin, préfet des Basses-Alpes en 1946, conseiller des présidents Auriol et Coty qui œuvrera à l'indépendance du Maroc et de la Tunisie – et par le roi d'Arabie Saoudite. Cette montre provenant par les descendants de Cherif Méchéri, est estimée 4 000/6 000 €. On poursuit avec de l'argenterie classique, quelques carrés Hermès, des sérigraphies de Victor Vasarely, de l'art moderne (Bismouth, Survage, Laurens, etc.) et contemporain. La fin de séance revient à des meubles (Thonet, Breuer, Matégot, Lurçat) et quelques dessins provenant de la demeure de l'architecte André Lurçat (1894-1970) à Sceaux, ainsi qu'à des luminaires de Jean Perzel (1892-1986).